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  1. Une sélection de poèmes écrits par Stéphane Mallarmé, célèbre poète français né à Paris en 1842 et mort à Valvins en1898.

  2. Les 73 poèmes de Stéphane Mallarmé : — À la nue accablante. — Angoisse. — Apparition. — Aumône. — À une petite laveuse blonde. — À un poète immoral. — Au seul souci de voyager. — Billet à Whistler. — Brise marine. — Contre un poète parisien. — Dame sans trop d'ardeur. — Dans le jardin. — Don du Poème. — Éventail de Madame Mallarmé.

    • Brise Marine - Stéphane Mallarmé
    • Apparition - Stéphane Mallarmé
    • L'azur - Stéphane Mallarmé
    • Le Guignon - Stéphane Mallarmé
    • Les Fleurs - Stéphane Mallarmé
    • Angoisse - Stéphane Mallarmé
    • Les Fenêtres - Stéphane Mallarmé
    • Renouveau - Stéphane Mallarmé
    • Soupir - Stéphane Mallarmé
    • Don Du Poème - Stéphane Mallarmé

    La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres. Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux ! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce cœur qui dans la mer se trempe Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe Sur le vide papier que la blancheur défend Et ni la j...

    La lune s'attristait. Des séraphins en pleurs Rêvant, l'archet aux doigts, dans le calme des fleurs Vaporeuses, tiraient de mourantes violes De blancs sanglots glissant sur l'azur des corolles. — C'était le jour béni de ton premier baiser. Ma songerie aimant à me martyriser S'enivrait savamment du parfum de tristesse Que même sans regret et sans dé...

    De l'éternel Azur la sereine ironie Accable, belle indolemment comme les fleurs, Le poète impuissant qui maudit son génie À travers un désert stérile de Douleurs. Fuyant, les yeux fermés, je le sens qui regarde Avec l'intensité d'un remords atterrant, Mon âme vide. Où fuir ? Et quelle nuit hagarde Jeter, lambeaux, jeter sur ce mépris navrant ? Brou...

    Au-dessus du bétail écœurant des humains, Bondissaient par instants les sauvages crinières Des mendiants d’azur damnés dans nos chemins. Un vent mêlé de cendre effarait leurs bannières Où passe le divin gonflement de la mer, Et creusait autour d’eux de sanglantes ornières. La tête dans l’orage, ils défiaient l’enfer : Ils voyageaient sans pains, sa...

    Des avalanches d’or du vieil azur, au jour Premier et de la neige éternelle des astres Jadis tu détachas les grands calices pour La terre jeune encore et vierge de désastres, Le glaïeul fauve, avec les cygnes au col fin, Et ce divin laurier des âmes exilées Vermeil comme le pur orteil du séraphin Que rougit la pudeur des aurores foulées, L’hyacinth...

    Je ne viens pas ce soir vaincre ton corps, ô bête En qui vont les péchés d'un peuple, ni creuser Dans tes cheveux impurs une triste tempête Sous l'incurable ennui que verse mon baiser : Je demande à ton lit le lourd sommeil sans songes Planant sous les rideaux inconnus du remords, Et que tu peux goûter après tes noirs mensonges, Toi qui sur le néan...

    Las du triste hôpital, et de l'encens fétide Qui monte en la blancheur banale des rideaux Vers le grand crucifix ennuyé du mur vide, Le moribond sournois y redresse un vieux dos, Se traîne et va, moins pour chauffer sa pourriture Que pour voir du soleil sur les pierres, coller Les poils blancs et les os de la maigre figure Aux fenêtres qu'un beau r...

    Le printemps maladif a chassé tristement L'hiver, saison de l'art serein, l'hiver lucide, Et, dans mon être à qui le sang morne préside L'impuissance s'étire en un long bâillement. Des crépuscules blancs tiédissent sous mon crâne Qu'un cercle de fer serre ainsi qu'un vieux tombeau Et triste, j'erre après un rêve vague et beau, Par les champs où la ...

    Mon âme vers ton front où rêve, ô calme sœur, Un automne jonché de taches de rousseur Et vers le ciel errant de ton œil angélique Monte, comme dans un jardin mélancolique, Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’Azur ! — Vers l’Azur attendri d’Octobre pâle et pur Qui mire aux grands bassins sa langueur infinie Et laisse, sur l’eau morte où la fau...

    Je t’apporte l’enfant d’une nuit d’Idumée ! Noire, à l’aile saignante et pâle, déplumée, Par le verre brûlé d’aromates et d’or, Par les carreaux glacés, hélas ! mornes encor, L’aurore se jeta sur la lampe angélique, Palmes ! et quand elle a montré cette relique A ce père essayant un sourire ennemi, La solitude bleue et stérile a frémi. Ô la berceus...

  3. Tous les poèmes de Stéphane Mallarmé classés par ordre alphabétique. À la nue accablante ... Découvrez mes poèmes originaux grâce au service Poésie Postale, ou en me suivant sur sur Instagram, YouTube et Tiktok. Cliquez ci-dessous pour découvrir un poème au hasard.

  4. 1842–1898. Getty. Stéphane Mallarmé was recognized as one of France’s four major poets of the second half of the 19th century, along with Charles Baudelaire , Paul Verlaine, and Arthur Rimbaud. Much of his poetry was acknowledged to be difficult to understand because of its tortuous syntax, ambiguous expressions, and obscure imagery.

  5. Auteur d’une œuvre poétique ambitieuse et difficile, Stéphane Mallarmé a été l’initiateur, dans la seconde moitié du XIXe siècle, d’un renouveau de la poésie dont l’influence se mesure encore aujourd’hui auprès de poètes contemporains comme Yves Bonnefoy. Il perd sa mère en 1847 et est confié à ses grands-parents.

  6. Publiée en 1899, Poésies est une œuvre poétique de Stéphane Mallarmé. Le recueil Poésies (1899) : — À la nue accablante. — Angoisse. — Aumône. — Au seul souci de voyager. — Billet à Whistler. — Brise marine.