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  1. Louise Adélaïde d'Orléans (Marie Louise Adélaïde; 13. srpna 1698, zámek Versailles – 10. února 1743, Paříž) byla druhou dcerou Filipa II. Orleánského a Františky Marie Bourbonské , legitimizované dcery francouzského krále Ludvíka XIV. a jeho milenky Madame de Montespan .

  2. Cultivation. Grow in an open site with full sun and moderately fertile, humus-rich, moist but well-drained soil. For best flowering apply a balanced fertiliser and mulch in late winter or early spring. Tolerant of some shade and poor soils. Suitable for growing into trees.

  3. Louise Marie Adélaïde war die Erbtochter von Louis Jean Marie de Bourbon, duc de Penthièvre (1725–1793) und seiner Ehefrau Maria Teresa Felicita d’Este (1726–1754), älteste Tochter von Herzog Franz III. von Modena und Prinzessin Charlotte Aglaé von Orléans. Über ihren Vater war sie eine Ur-Enkelin von König Ludwig XIV. von Frankreich.

  4. 25. März 2009 · la rubrique « Adélaïde and the city » du sinistre PDV est rédigée par Adélaïde de Clermont-Tonnerrre. Cette dernière est l’arrière-petite-fille de la princesse Isabelle d’Orléans (1900-1983), comtesse Bruno d’Harcourt puis princesse Pierre Murat, fille de duc de Guise et soeur de feu le deuxième comte de Paris.

  5. Marie Adélaïde was exiled to Spain, as was her sister-in-law Bathilde d'Orléans. Rouzet accompanied them to the Spanish border and managed to secretly join them in Barcelona where he became her chancellor. Marie Adélaïde, Rouzet and the Orléans exiled in Spain returned to France in 1814 at the time of the first Bourbon Restoration. After ...

  6. This rose is named after Adélaïde d'Orléans, the younger sister of Louis-Philippe 1er, who had a great influence on her brother and played an important role in his coronation. The rose was commercialized in 1826. Standplaats: Sun (>4h) Plantafstand: 300 cm. Vorstbestendigd: tot -10°C.

  7. En mai 1821, on diagnostique à la duchesse douairière d’Orléans un cancer du sein, mal identique à celui de la Reine Anne d’Autriche. Le 14 juin 1821, elle reçoit les derniers sacrements par les mains de Mgr de La Fare, archevêque de Sens, ancien évêque de Nancy qui avait prononcé le sermon à la messe d’ouverture des Etats Généraux le 4 mai 1789.