Yahoo Suche Web Suche

Suchergebnisse

  1. Suchergebnisse:
  1. Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon, pair de France (1740), comte d'Agénois et de Condomois puis duc d'Agénois et duc d'Aiguillon [1], est un militaire et homme d'État français né à Paris le 31 juillet 1720 [2], [3] et mort à Paris le 1 er septembre 1788.

  2. Emmanuel Armand de Vignerot du Plessis, Herzog von Aiguillon, Fürst von Porcien, Graf von Saint-Florentin, Herzog von Aiguillon, Graf von Agenois sowie Pair von Frankreich, war ein französischer Militär, sowie Außen- und Kriegsminister unter Ludwig XV.

  3. Emmanuel Armand de Vignerot du Plessis, Duke of Aiguillon (31 July 1720 – 1 September 1788), was a French soldier and statesman, and a nephew of Armand de Vignerot du Plessis, 3rd Duke of Richelieu. He served as the Secretary of State for Foreign Affairs under King Louis XV. Early life and intrigue.

  4. Armand-Désiré de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d’Aiguillon et duc d’Agenois, pair de France, est un aristocrate et un militaire français, né le 31 octobre 1761 à Paris et mort le 4 mai 1800 à Hambourg. Général de brigade de cavalerie, il fut partisan de la Révolution jusqu’en 1792.

  5. Emmanuel-Armand de Richelieu, duke d’Aiguillon was a French statesman, whose career illustrates the difficulties of the central government of the ancien régime in dealing with the provincial Parlements and estates, the extent to which powerful ministers were at the mercy of court intrigue, and how.

    • The Editors of Encyclopaedia Britannica
  6. Armand-Emmanuel-Sophie-Septimanie de Vignerot du Plessis, duc de Richelieu, est un officier, diplomate et homme politique français, né le 25 septembre 1766 à Paris et mort le 17 mai 1822 dans la même ville. Il est le deuxième président du Conseil des ministres en titre de l'histoire de France.

  7. Emmanuel Armand de Vignerot du Plessis de Richelieu, duc d' Aiguillon. Homme d'État français (Paris 1720-Paris 1788), arrière-petit-neveu du cardinal de Richelieu. Commandant en chef en Bretagne (1753), il fut accusé d'actes arbitraires par le parlement de Rennes et son procureur général La Chalotais (1765), puis par le parlement de Paris.