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  1. Arizona Junior (Originaltitel: Raising Arizona) ist der 1987 erschienene zweite Film der Brüder Joel und Ethan Coen (die gut zehn Jahre später mit The Big Lebowski einen meiner absoluten Lieblingsfilme drehen sollten). Schon damals zeigten sich die Handschrift und das Talent der Coens: Eine alltägliche Komödie ist Arizona Junior sicher nicht. Der Film lebt von seiner ausgefallenen Story ...

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  2. Ett barnlöst par bestämmer sig för att förse sig själva med en av en annan familjs femlingar.

  3. Leur kidnapping, geste fou, presque punk, en fait des anarchistes. Au point que l’on se demande si le chaos qu’ils provoquent n’est pas l’apocalypse salvatrice, celle qu’il fallait pour s’enfuir du triste cauchemar qu’est l’ american way of life. Arizona Junior de Joel et Ethan Coen, 1h34, Ciné Sorbonne, ressortie le 15 mars.

  4. 28. März 2020 · Arizona Junior. Le deuxième film des frères Coen est une comédie délirante, où Laurel et Hardy rencontreraient Mad Max sur une mise en scène de Tex Avery. D ans l’œuvre des frères Coen ...

  5. Hi, impénitent cambrioleur de supermarchés, passe beaucoup de temps dans la prison de Tempe en Arizona. Il y rencontre un jour Ed, charmante femme policier, dont il tombe éperdument amoureux. Terminé les braquages, il se marie et part pour l'usine qui ressemble somme toute à la prison. Hi et Ed voudraient un enfant mais Ed est stérile.

  6. Arizona Junior ist eine schräge, skurrile und liebenswerte Komödie der legendären Coen-Brüder (Big Lebowski, Fargo, Hudsucker, Barton Fink) von 1987. Mit ihrem zweiten Kinohit bewiesen Sie wieder ihre einzigartige Genialität. Der noch relativ junge Nicolas Cage (herrliche Frisur) und die wunderbare Holly Hunter spielen die Hauptrollen. Cage wird hier noch von Rolf Zacher gesprochen, wie ...

  7. 28. Apr. 2015 · Arizona Junior constitue la preuve éclatante que les problèmes capillaires de Nicolas Cage ne datent pas d’aujourd’hui. Deuxième film des terribles frangins de l’Amérique, il marque déjà leur tendance au sadisme, qui consiste à insister sur les douleurs des laissés pour compte de l’American Dream.