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Jean-Louis Tixier-Vignancour (born 12th October 1907) is the current prime minister of the French State. Jean-Louis quickly joined French politics by joining the monarchist French Action. As a member of parliament for the sub-Pyrenees, he advocated extreme right-wing views. After the Third Reich invaded France, he lent his support to Marshal Pétain and became a deputy minister. His job was to ...
ITW de JEAN LOUIS TIXIER VIGNANCOUR, candidat à la présidence de la République, par JOUBERT. - JEAN LOUIS TIXIER VIGNANCOUR :" De Gaulle n'est pas venu comme je lui avais demandé, je ne suis ni de droite de de gauche mais pour une politique économique donc le libéralisme. Diminution impôts 11% par jour au vieux travailleurs ...
Jean-Louis Tixier-Vignancour, nacido Jean-Louis Tixier el 12 de octubre de 1907 en París y murió el 29 de septiembre de 1989 en la misma ciudad, es abogado y político francés. Durante su carrera como abogado, defendió notablemente al escritor Louis-Ferdinand Céline y luego al general golpista Raoul Salan .
Er leitete zur Präsidentschaftswahl 1965 die Wahlkampagne für den Kandidaten der extremen Rechten, Jean-Louis Tixier-Vignancour, der mit 5,2 % der Stimmen auf den vierten Platz kam. Anfang 1966 kam es zum Bruch mit Tixier-Vignancour, der Le Pen vorwarf, seiner Bewegung durch taktische Fehler bei der Kommunalwahl und durch die Veröffentlichung von Naziliedern bei Serp geschadet zu haben. [9]
Wo Maitre Jean-Louis Tixier-Vignancour steht, ist immer rechts, ganz weit rechts, mögen auch die Vorzeichen wechseln. Der 54jährige Pariser Advokat, ehemaliger Abgeordneter der ...
Réélu en 1881, à nouveau battu en 1885, il retrouve son siège de député en 1887, lors d'une élection partielle. Réélu en 1889, il est élu sénateur en 1891 et s'inscrit au groupe de la Gauche républicaine . Louis Vignancour est le grand-père de Jean-Louis Tixier-Vignancour, homme politique d'extrême-droite.
J'ai choisi la défense, Jean-Louis Tixier-Vignancour, éd. Éditions de la Table ronde , 1964, chap. Le procès de l'attentat du Petit-Clamart, p. 242 L'armée, les pieds-noirs, les musulmans, les élus, étaient unis par une certaine conception qu'ils avaient de la France.
