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Poher, Alain (17 Apr. 1909) (b. Ablon-sur-Seine, 17 Apr. 1909; d. Paris, 9 Dec. 1996)French; President of the Senate 1968–92, Presidential candidate 1969 Born in the Paris region, Poher studied engineering and law and entered politics after the Second World War as a supporter of the Christian Democratic movement and in particular of Robert ...
7. Aug. 2020 · C’est donc à Alain Poher que revient, pour la seconde fois, la lourde tâche d’assurer l’intérim. Celui-ci dure un peu moins que le précédent, car le 19 mai 1974, soit 47 jours plus tard, Valéry Giscard d’Estaing est élu Président de la République. Cette fois-ci, Alain Poher ne se présente pas aux élections.
Alain Poher, né le 17 avril 1909 à Ablon-sur-Seine (Seine-et-Oise) et mort le 9 décembre 1996 à Paris 16e, est un homme d'État français.
Alain Poher (1909-1996) D'un Sénat méprisé qu'on voulait supprimer, j'ai fait une assemblée restaurée pesant son poids dans la vie politique de notre pays ». Né le 17 avril 1909 à Ablon-sur-Seine, Alain Poher, ingénieur des mines, licencié en droit, diplômé de l'École libre des sciences politiques, entame peu avant la guerre une ...
Biographie. Alain Poher, Président du Sénat de 1968 à 1992 et Gaston Monnerville, Président du Conseil de la République de 1947 à 1958 puis du Sénat de 1958 à 1968 (à gauche) Né le 17 avril 1909 à Ablon-sur-Seine, Alain Poher, licencié en droit, diplômé de l'École libre des sciences politiques, ingénieur civil des Mines, entre ...
Alain Poher (ur. 17 kwietnia 1909 w Ablon-sur-Seine, zm. 9 grudnia 1996 w Paryżu) – francuski polityk, wieloletni senator, od 1968 do 1992 przewodniczący francuskiego Senatu, w latach 1966–1969 przewodniczący Parlamentu Europejskiego. Dwukrotnie z urzędu pełnił obowiązki prezydenta Francji: po rezygnacji Charles'a de Gaulle'a w 1969 ...
Alain Poher, décédé le 9 décembre 1996, a présidé le Sénat pendant vingt-quatre ans. C'est à ce titre, comme deuxième personnage de l'État, qu'il a assumé par deux fois l'intérim de la présidence de la République, en 1969 et en 1974. « Mes cent jours », ironisait-il volontiers sur ce double séjour à l'Élysée qui le fit connaître des Français.
