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  1. Marie-Dominique Chenu récusa l’expédition française en Indochine, dont il nia qu’elle fût une « croisade pour la défense de la civilisation "chrétienne" », puis s’opposa à la bombe atomique en signant l’Appel de Stockholm (1950). Son refus de l’anticommunisme fut une dénonciation de l’usage politique de l’Évangile. Pour les progressistes chrétiens, les idées du ...

  2. Das IMDC trägt den Namen des französischen Dominikanergelehrten Marie-Dominique Chenu (1895-1990), einem anerkannten Mediävisten, aufmerksamen Beobachter der sozioökonomischen „Zeichen der Zeit“ und engagierten Konzilstheologen. In seinem Geist führt das Institut vor allem Wissenschaftlerinnen und Wissenschaftler aus dem Dominikanerorden in verschiedenen Arbeitsprojekten zusammen.

  3. Marie-Dominique Chenu. Marie-Dominique Chenu ( Soisy-sur-Seine, 7 februari 1895 - 11 februari 1990) was een Frans katholiek theoloog en historicus die aan de oorsprong stond van de Nouvelle Théologie. Hij nam als adviseur deel aan het Tweede Vaticaans Concilie (1962-1965).

  4. Marie-Dominique Chenu 1963-1979”, 855-866 ; Chenu, La fe en la inteligencia. Bibliografía general de padre Chenu 1922-1965, 369-389. Puede verse también el análisis cronológico de las obras medievalistas de Chenu en Schmitt, “L’œuvre de médiéviste du père Chenu”, 397-398.

  5. Schriftleiter ist Prof. Dr. Thomas Eggensperger OP, M.A. (Institut M.-Dominique Chenu Berlin / Philosophisch-Theologische Hochschule Münster / Campus für Theologie und Spiritualität Berlin). Eggensperger hat die Schriftleitung 2020 von Prof. Dr. Walter Senner OP (1948-2020) übernommen. Ab diesem Band, der in zwei Teilbänden erscheint, wird ...

  6. 26. Okt. 2022 · Marie-Dominique Chenu (1895-1990) d’Étienne Fouilloux. Salvator, 280 p., 22,50 € De nombreux travaux ont déjà été consacrés à la figure de Marie-Dominique Chenu, à ses deux ...

  7. CHENU. MARIE-DOMINIQUE. (1895-1990) Marie-Dominique Chenu, fils d'un petit industriel, est né près de Paris, à Soisy-sur-Seine. Pur hasard, dans cette même commune, les dominicains, exilés en Belgique depuis 1903, installeront le couvent d'études de la province de France quand ils rentreront à la veille de la Seconde Guerre mondiale.