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  1. 5. Okt. 2013 · L'essai de José Ortega y Gasset intitulé Misère et splendeur de la traduction est considéré dans de nombreux pays comme une référence classique en matière de philosophie de la traduction. On retrouve le sens du paradoxe et la liberté de ton et de forme du philosophe espagnol...

    • October 22, 2013
  2. Misère et splendeur de la traduction Traduction et avant-propos de Clara Foz D'Ortega y Gasset, né à Madrid en 1883, et qui, avec Unamuno, son contemporain, constitue l'un des plus illustres représentants de la pensée philosophique espagnole, on ne saurait résumer l'œuvre :

  3. Misère et splendeur de la traduction se présente comme la transcription – sans doute en partie véridique – d’une séance entre savants au Collège de France. Dans cette conversation parfois houleuse, certains intervenants sont nommés, mais la plupart restent anonymes.

  4. 19. März 2014 · Lectures : Marianne Basler. Après Qu’est-ce que traduire, lundi, ce que disent nos rêves, hier, c'est-à-dire après Borgès et Ricoeur, et Freud et Flaubert, pour le troisième temps de cette semaine sur la traduction, nous avons le plaisir d’accueillir aujourd’hui Jean-René Ladmiral, traducteur, philosophe et traductologue ...

    • Adèle Van Reeth
    • Adèle Van Reeth
  5. 23. Nov. 2013 · François Géal (Traducteur) Traduit en anglais, en allemand, en italien, et même en russe, bulgare, hongrois et serbe, Miseria y esplendor de la traducción, du philosophe espagnol José Ortega y Gasset (1883-1955), n'avait encore jamais été traduit ni publié en France.

  6. 21. Juli 2020 · Le texte Misère et splendeur de la traduction de José Ortega y Gasset, écrit dans le milieu des années Trente, est présenté ici, dans la collection Traductologiques des Belles Lettres, pour la première fois au public français si, toutefois, l’on fait abstraction de la version canadienne de Clara Foz.

  7. 1. Nov. 2013 · José Ortega y Gasset n’a jamais produit de traductions, même s’il en a impulsé de nombreuses dans son pays et s’il possédait plusieurs langues, outre le latin et le grec, l’italien, l’anglais, le français – en traînant les pieds, comme il dit ici – et surtout l’allemand.